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Beauté-famille-sexualité

Le but de ce blog est de parler de la beauté, de la famille et de la sexualité en prenant appui sur la communauté Guin et Mina. La communauté Guin et Mina a une culture riche de plus de 3,5 siècles mais peu connue. Aujourd'hui, cette communauté n'est visualisée qu'à travers les pratiques sexuelles peu positives d'une minorité de femmes guinnou ou Mina. Ce blog revisite l'organisation sexuelle du peuple Guin et Mina à travers le temps (approche diachronique) afin d'en tirer des inspirations susceptibles de façonner notre mode de vie contemporain. Mot clés : #Beauté, #Sexualité, #Famille, #Guin, #Mina

La sexualisation des corps, connaître l'origine du mouvement en vue de le prévenir, volet3-suite

Volet 3 (suite) : Émergence des marchés du mariage et des champs sexuels en Afrique

Concernant les sociétés africaines, c'est au tournant des années 1970 que le mouvement de distanciation vis-à-vis des normes de régulation des alliances à commencer timidement à prendre forme. Quelques femmes, dans de nombreuses sociétés et communautés africaines, ont commencé à faire des choix de partenaires selon leur goût sur un marché ouvert. Ce mouvement est intervenu beaucoup plus tard dans d'autres sociétés où la religion (comme chez les musulmans) ou les normes communautaires sont strictes en matière de sélection d'un partenaire et d'entrée en alliance. Revisitons une fois encore les tableaux affichés précédemment.

Il s'agit des tableaux 4 et 5 affichés dans l'article publié le 01/04/2020. Source : Extraits de Thiriat (1999)
Il s'agit des tableaux 4 et 5 affichés dans l'article publié le 01/04/2020. Source : Extraits de Thiriat (1999)

Il s'agit des tableaux 4 et 5 affichés dans l'article publié le 01/04/2020. Source : Extraits de Thiriat (1999)

Voyez-vous comment à peu avant 1970 et à pas progressif (voir les deux dernières colonnes sur le premier tableau et les lignes surlignées sur le deuxième tableau ci-dessus), jusqu'alors, les jeunes filles/femmes ont commencé à prendre seules l'initiative du choix de leurs partenaires ? Mais l'on pourrait distinguer la liberté du choix du partenaire selon son goût personnel en deux parties : les sociétés où la jeune fille est contrainte d'accepter le partenaire qui lui est proposé selon les normes coutumières ou religieuses ; et les sociétés dans lesquelles la jeune fille jouit d'une relative liberté dans le choix de son partenaire.

1) Les stratégies de contournement des normes dans les sociétés qui imposent des partenaires aux jeunes filles

À propos des sociétés qui contraignent les jeunes filles à accepter le partenaire à elles choisi par la famille, une stratégie de contournement des règles s'observent : elles font semblant d'accepter mais une fois l'alliance consommée, elles provoquent, après un bref délai, la rupture du lien conjugal afin d'opérer leur propre choix de partenaire.

Voici ce que Marie-Paule Thiriat nous explique à ce propos : « Si bon nombre de sociétés n’autorisent pas, en principe, les jeunes filles à rejeter leur fiancé, elles permettent des mariages secondaires qui sont souvent le lieu de stratégies matrimoniales féminines (Mathieu, 1991, p. 89). Même si la norme socialement valorisée est de voir durer les alliances, il ne semble pas qu’il existe de sociétés africaines où le mariage soit considéré, de fait, comme absolument indissoluble. Des pressions familiales et sociales plus ou moins fortes s’exercent pour prévenir ou du moins retarder cet évènement qui déstabilise les relations entre alliés et « se pose comme le déni d’un choix que les familles des époux ont généralement conclu à leur avantage respectif » (Rivière, 1990). L’hypothèse d’une dissolution de l’union renvoie à la permanence des liens étroits que la femme entretient avec sa famille d’origine, où elle trouve asile et appui en cas de mésentente grave, ainsi qu’à l’évolution d’un statut féminin au cours du cycle de vie (Locoh et Thiriat, 1995). En effet, selon la coutume, l’accès au statut de femme mariée donne une première « émancipation » à la femme et, en cas de rupture d’union, elle sera plus libre de faire elle-même le choix d’un nouveau partenaire. Cette différence de traitement entre la femme divorcée et la jeune fille s’exprime par la différence d’attitude à l’égard des hommes. Une femme mariée est beaucoup plus libre de ses paroles et de ses gestes qu’une jeune fille. Si elle est divorcée, elle pourra discuter avec les hommes et avoir ainsi la liberté d’être courtisée par un prétendant (Le Cour-Grandmaison, 1971). Cependant, le statut d’une femme adulte étant d’être en union, le délai est souvent bref entre la séparation et le remariage. Il n’est pas rare, d’ailleurs, que le futur mari soit choisi avant la rupture de l’union précédente. Les remariages après divorce relèvent davantage de l’initiative des individus, ils ne s’inscrivent pas dans des processus et ne font pas l’objet de sanction sociale.» (Thiriat, 1999, pp. 88-89).

Les « alliances dites secondaires » permettent en quelque sorte de traiter du « mariage au féminin » renchérit Laurent (2010, emplacement 4974). En effet, explique l’auteur : « étant généralement considérées comme en marge de la régulation de l’ordre politique, ces alliances secondaires démontrent toutefois le rôle important tenu par les femmes dans l’établissement des alliances. A propos de « l’alliance principale », il va sans dire que généralement les femmes préfèrent ne pas affronter directement les pouvoirs des aînés car les sanctions encourues sont sévères. Pour cela, elles acceptent leurs maris coutumiers, quitte à rompre ensuite l’alliance et à organiser leur fuite avec un homme de leur choix. Ce problème n’est pas anecdotique. Dans la famille où résidait Suzanne Lallemand dans un village mossi, sur onze femmes présentes dans la cour, deux avaient vécu une seule union, les neuf autres en totalisaient vingt-cinq, ce qui donne une moyenne de 2,4 alliances par femme. L’ethnologue Suzanne Lallemand qualifie cette pratique assez répandue de « carrière matrimoniale » (Lallemand, 1977, p.166). Comme je l’ai montré, ce phénomène s’est amplifié […]. Les ruptures, le départ de l’épouse, l’enlèvement d’une femme constituent des pratiques anciennes chez les Mossi qui n’ont pas attendu la modernité pour se manifester. Elles sont le résultat de différentes situations : les jalousies entre femmes, les rivalités entre coépouses, le désir de vivre avec le ou la rolle de sa jeunesse, la trop longue attente d’un mari en migration, ou encore l’impuissance de l’homme […] » (Ibidem).

La sexualisation des corps, connaître l'origine du mouvement en vue de le prévenir, volet3-suite

2) Dans les sociétés plus flexibles, la sexualité occupe une place importante dans le processus du choix du partenaire

À travers son étude menée à une échelle plus globale en Afrique, Marie-Paule Thiriat évoque, concernant la place de la sexualité dans le processus de sélection du partenaire, que : « Les études statistiques récentes [cet article date des années 1990] ont confirmé l’importance et la croissance de l’activité sexuelle des jeunes avant le mariage, alors que l’âge au mariage reste encore relativement bas dans de nombreux pays africains (Gyepi-Garbrah, 1988 ; Gage-Brandon et Meekers, 1993). Elles témoignent également d’une grande diversité de situation d’un pays à l’autre. Au Botswana, 66% des femmes âgées de 15-19 ans ont eu des rapports sexuels, mais 6% seulement sont mariées ; elles sont respectivement 82% et 36% au Ghana, 62% et 41% en Ouganda. Au Mali et au Burundi, où les interdits sociaux et religieux restent puissants, seulement 1% et 2% des femmes ont eu des relations sexuelles avant le mariage (Bledsoe et Cohen, 1993). Ces résultats observés au niveau national recouvrent bien sûr une diversité de situations locales qui rend l’analyse et les généralisations difficile. L’initiation sexuelle ne peut, en effet, être dissociée du contexte social et culturel environnant, ni du calendrier et des modes d’entrée dans la vie conjugale. Le développement d’une sexualité prénuptiale n’est véritablement l’indication d’un comportement en rupture avec le système traditionnel de normes et de valeurs que pour les sociétés dans lesquelles la virginité était de règle. Celle-ci a pratiquement disparu dans bon nombre de sociétés, soit de façon discrète, chez les Wolof du Sénégal (Diop, 1985) ou les Haousa (Echard, 1981), soit de façon tout à fait ouverte, comme chez les Yoruba du Nigeria (Caldwell et al., 1992).

Au Togo, les deux tiers des femmes enquêtées (âgées de 20-49ans) déclarent avoir eu une expérience sexuelle avant le mariage. Le comportement des femmes originaires des ethnies du sud, qui traditionnellement valorisaient la virginité, ne diffère pas significativement de celui qui est observé dans les sociétés du nord du Togo qui encouragent la sexualité prénuptiale et pour lesquelles il ne s’agit pas là d’un signe de modernité. Seules quelques ethnies à dominance musulmanes (de religion) échappent à cette relative uniformisation des comportements [sexuels prénuptiaux].

À Kikwit (République démocratique du Congo), où la virginité avant le mariage n’est pas une exigence coutumière, la sexualité prénuptiale reste justifiée par « la nécessité de satisfaire pleinement son futur mari dès la première nuit », « qui requiert un apprentissage et une initiation préalables », ou répond à « la conviction répandue parmi les jeunes qu’une expérience sexuelle avant le mariage assagit la femme et la rend plus fidèle dans son mariage » (Ngondo a Pitshandenge, 1998). Ailleurs, le poids et le sens accordés à l’idée de virginité se sont profondément modifiés. Ce qui était interdit est au moins toléré, ce qui était valorisé peut être ridiculisé.

À travers des liens d’amitiés et de fiançailles, les filles affichent et acquièrent de plus en plus d’indépendance par rapport à la famille et à la société. Elles ont appris à s’entêter et refusent les projets de mariage de leurs parents. Les relations sexuelles peuvent être investies de fonctions diverses. Ainsi, le phénomène des « sugar daddies » (parallèlement à celui des « sugar mommies »), où les relations sexuelles s’échangent contre des cadeaux ou un soutien financier permettant de poursuivre des études, semble prendre de l’ampleur en milieu urbain nigerian avec l’accroissement des difficultés économiques (Baker et Rich, 1992) [Ces mêmes ont été faits plus tard près des étudiants à Ouagadougou (Mazzocchetti, 2012)]. Ces amours monnayées peuvent s’inscrire dans un réseau de polyandrie illustré par le slogan « Chic, chèque, choc » usité à Kinshasa. Les femmes compensent des relations trop matérielles (le chèque) en entretenant par ailleurs des relations plus sentimentales (le choc) et d’autres socialement plus gratifiantes (le chic). L’objectif poursuivi peut aussi être de recevoir une promesse de mariage (la jeune fille pensant que, si elle se retrouve enceinte, son partenaire se verra obligé de l’épouser) ou d’inciter la famille à accepter le futur époux.

Le processus de changement social lié à la « modernisation » apparaît comme un facteur essentiel d’une évolution des normes et de l’adoption de nouveaux comportements sexuels. En effet, la fréquence accrue de l’initiation sexuelle prénuptiale est essentiellement liée au recul de l’âge au mariage et aux facteurs qui lui sont associés […]. Cette évolution est accentuée par la crise économique, qui retarde le mariage. Elle va de pair avec un contrôle plus diffus sur les jeunes et avec l’acquisition d’une certaine autonomie par rapport à la famille au cours d’une période préconjugale qui s’allonge. Le passage s’est opéré d’une « sexualité socialisée, contrôlée par le groupe, à une sexualité individualisée » (Nanitelamio, 1990). » (Thiriat, 1999, pp. 93-95).

La sexualisation des corps, connaître l'origine du mouvement en vue de le prévenir, volet3-suite

Observant des phénomènes similaires de dérégulation du système d'alliance sur son terrain au Burkina Faso, Laurent (2010) évoque que : « Les tensions apparues au sein des alliances se manifestent à un moment particulier de la transformation de la société mossi, où désormais les principes coutumiers du « vivre ensemble » sont mis à mal, […]. L’essor du libre choix du conjoint se déroule dans un environnement exacerbé par la lutte pour la survie, l’accès à la consommation et la recherche par tous les moyens de l’ascension sociale. […] Parallèlement, je constatai que tous n’allaient pas trouver aussi aisément chaussure à leur pied ; certains ne trouveraient d’ailleurs pas de conjoint, là où, dans la société coutumière mossi, le statut acceptable pour tout adulte, quel qu’il soit, était celui d’être marié.

Dans ce contexte de dérégulation sociale et de transformation rapide de la culture, en ville surtout, […], j’observai un nouvel essor du sentiment de jalousie dans les affrontements violents, parfois entre jeunes filles, et entre elles et les épouses plus âgées, pour se « trouver un mari capable » (un homme avec une certaine aisance financière) et/ou, une fois mariée, pour le garder. De même, les rivalités entre les hommes nantis et les autres, dont les jeunes, pour l’accès à la sexualité des jeunes femmes, devenaient de plus en plus visible.»

Ainsi, depuis les années 1970 déjà, des constats allaient dans le sens que des  « mariages anciens, observés à un moment de leur histoire, certains éléments ont pu disparaître ou se transformer. Leur évolution est liée au dynamisme interne des sociétés, soumises à des contraintes et des tensions qui pèsent sur leurs institutions et les poussent à s’adapter, ainsi qu’à l’influence de pressions extérieures d’ordre économique, culturel et politique » (Thiriat, 1999 ; Laurent, 2010, Mazzocchetti, 2012). La question posée ici est de savoir quelles scènes nous offre à voir aujourd'hui la liberté des jeunes filles/femmes de choisir leurs partenaires en toute autonomie ? Les illustrations affichées ci-après sont tirées de Facebook.

On retient pour finir que sur le marché amoureux ouvert, le choix d'un partenaire se fait non seulement selon son goût personnel mais aussi en fonction des critères économiques, et d'une place importante accordée au sex-appeal, à la beauté et à la sexualité.

Le prix de la virginité sur un marché amoureux ouvert

Encadré 14 : « Je veux garder ma virginité, alors il m’a quittée pour une autre »

Bonjour coach, je suis jeune une femme de 19 ans, je suis encore étudiante,
Je suis en couple avec un homme de 27 ans, tout allait bien jusqu'au jour où je commence à remarquer qu'il m'ignore complètement et, sur son statut, il publie une photo d'une fille et il me dit que c'est sa cousine ; il écrit toujours des commentaires comme c'est ma femme, mon amour tout ça... Mais il me dit que c'est sa cousine, et puis un moment, je ne voyais plus ses statuts, hier matin on m'a envoyé une vidéo de lui en train d'embrasser la fille qu’il disait que c'est sa cousine, c'est faux il m'a juste trompée, il m'a demandé de coucher avec lui et j'avais dit que je ne suis pas prête, parce que je suis encore vierge, je vivais le grand amour avec lui, je pensais que j'avais trouvé l'homme de ma vie, mais, il a joué avec mon innocence et ma bonté du cœur, il a joué avec mes sentiments, je regrette beaucoup mais que seul Dieu soit juge entre lui et moi, ce que je veux dire à toutes les reines qui sont ici, si tu es encore vierge protège ta virginité, c'est sacré, ne te laisse pas aveuglé, si tu ne peux pas attendre le mariage, alors fais-le quand tu te sentiras prête, je suis encore sous le choc parce que je l'aime, mais je dois passer à autre chose, vos conseils mais feront énormément plaisir et je crois que ça va mieux m'éduquer, je veux savoir ce que vous pensez de ma situation, et comment je peux faire pour avancer dans ma vie. Excusez-moi pour mon long texte, que Dieu vous bénisse abondamment.

#CoachThierryPat (https://www.facebook.com/CoachThierryPat/ consulté le 25/04/2020).

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Mireille Yolande Tagne Kengne Si tu veux garder ta virginité évite les hommes jusqu'au jour où tu seras prête.

Ornella Lise Ma belle oublie-le, finis tes études, trouve un vrai travail, aies ton indépendance. Tu vas voir après tout ça, il va courir derrière toi.

Ornella Ladyo Si tu penses qu'en 2020, la virginité est un cadeau au meilleur parti, tu n'as pas fini de pleurer. La vie est un parcours d'expérience et apprentissage. Indépendamment de la virginité gardée (qui pour moi est un détail), cette histoire te servira de leçon pour la prochaine relation. Préparer ton avenir doit être ta priorité num 1

Alicia Aicha Bance Que Dieu te bénisse abondamment ma chère fille. Gardes ta dignité et consacres toi à tes études. Courage.

Bel Akiessé Sois ferme dans tes décisions et ne laisse personne t'en dissuader. Bravo à toi.

Une sexualité narcissique

COMMENT SAVOIR S'IL T'AIME VRAIMENT PARTAGE POUR AIDER Besoin d'assistance ? https://wa.me/22547617711

Posted by Nel Jamila Officiel on Thursday, March 5, 2020

Un marché amoureux qui exclut certaines personnes : "toutes n'auront pas chaussure à leurs pieds"

Encadré 15 : Parfois le désespoir s’installe

Voilà mon problème coach : je suis une femme de 39 ans, mère de 2 enfants de pères différents.
Coach, je suis désespérée, je viens te solliciter pour me trouver un bon mari, je suis fatiguée de rester seule, lorsque je trouve un homme, lui veut juste coucher avec moi et moi je ne veux pas cacher mes filles non.
Mais, je suis dépassée par le comportement des hommes qui viennent vers moi.
D'autre, lorsque je dis que je travaille, il est très content directement c'est de me demander s’il peut venir chez moi pour manger.
Je suis scandalisée par ces comportements et dépassée stp j'ai besoin d'avoir une bonne relation avec un homme sérieux stp ; ne prends pas mal mon commentaire mais je suis désespérée
Stp trouve moi un homme.
Merci de me comprendre.

#CoachThierryPat (https://www.facebook.com/CoachThierryPat/ consulté le 25/04/2020)

 

Ramata Diallo Le bonheur ne passe pas forcément par le mariage ; commence à t'aimer toi-même d'abord valorise-toi, prends bien soin de toi et de tes enfants, sois heureuse et confiante ne montre jamais que tu es désespérée, le reste va suivre. Courage chérie ! Dieu est bon et juste il n'oubli personne.

Benedicte Bazolakio Le mariage est une institution divine, ma belle demande à Dieu il te donnera un bon homme, courage, ne te dérange pas tout ira bien. Puis ne cache pas l'existence de tes enfants comme tu l'as dit car s'il t'aime pour de vrai celui qui viendra bientôt là, il va les supporter😘

Ngoulanto Ngoumveun Matong Parfois je me dis que dans cette vie il y a des filles chanceuses hein, du genre finir ses études, trouver un travail, puis l'homme de sa vie, mariage puis enfants. Mais il y a également les nous-ci que tu vas d'abord rencontrer tous les enfants de Pharaon avant qu'un Moïse ne vienne te libérer…

Magnï Mel Je comprends ton problème ano. A un certain âge chez la femme ça devient compliquer... Si déjà chez nous qui frôlons la trentaine-là à plus forte raison chez vous ! Mais ne désespère pas! Je te conseille de ne plus chercher un mari mais quelqu'un qui va passer les moments de bonheur avec toi. Mais si le mariage vient se sera tjrs une bonne chose.

Rhutte Princia C'est parce que tu exprimes ton désespoir qu'ils en profitent, je suis certaine qu'ils ont pitié de toi. Ce n'est pas d'un homme dont tu as besoin ma sœur, c'est de la guérison dont tu as besoin, guéris de ce désespoir et aime-toi. L'homme n'est pas un remède

Elodie Blandine Mvesso Ne désespère pas hein même à 45ans on trouve un homme ; essaie de relativiser sois forte. Bats-toi pour tes filles et surtout regarde bien autour de toi, il a certainement quelqu'un mais tu ne le vois parce que il n’est pas ton type par exemple il faut garder espoir ; c'est l'espoir qui donne l'envie de vivre si tu montres trop ton désespoir tu vas toujours rencontrer des hommes qui profiterons de toi.

Bonne lecture à vous, chers lecteurs et chères lectrices.

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